mardi 1 juillet 2008

Les révoltes de la faim, conséquences naturelles de la mondialisation

Dès le XVIIIème et le début du XIXème siècle, les économistes Adam Smith et David Ricardo avaient décrit un phénomène d’une logique imparable : la baisse du prix des denrées alimentaires permet d’augmenter le pouvoir d’achat des salariés sans avoir à augmenter leurs salaires. Par voie de conséquence, cette baisse est vivement souhaitable pour les propriétaires des grands moyens de production. Règle numéro un du parfait libéral : la nourriture doit être bon marché.

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