On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. Le Petit Prince (1943) de Antoine de Saint-Exupéry
mardi 1 juillet 2008
Les révoltes de la faim, conséquences naturelles de la mondialisation
Dès le XVIIIème et le début du XIXème siècle, les économistes Adam Smith et David Ricardo avaient décrit un phénomène d’une logique imparable : la baisse du prix des denrées alimentaires permet d’augmenter le pouvoir d’achat des salariés sans avoir à augmenter leurs salaires. Par voie de conséquence, cette baisse est vivement souhaitable pour les propriétaires des grands moyens de production. Règle numéro un du parfait libéral : la nourriture doit être bon marché.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Guerre en Ukraine : l'Europe et la trahison américaine
Ce n'est pas un plan de paix, mais les préparatifs d'une offensive russe décisive que propose Trump à l'Ukraine. L'Europe re...
-
Pesticides, virus, agriculture intensive, de multiples causes concourent au déclin des abeilles mais chaque pays a tendance à privilégier sa...
-
Le 10 janvier 2025, une nouvelle étape dramatique de la crise climatique a été atteinte. Les 1 % les plus riches de la planète, responsabl...
-
ENVIRONNEMENT - La Planète bleue est gravement malade. Le niveau d’acidification des océans , qui regroupent 97 % de l’eau sur Terre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire